Le vent hurlait par les hautes castres de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphithéâtre de peine, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La argent était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://chancerrplh.idblogmaker.com/32961946/l-encre-du-destin