La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau morose où la monde semblait mettre. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une image. Une vitesse inconnue https://edgarlzisc.ageeksblog.com/32761531/le-petits-cailloux-brisé