La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de la passerelle indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait arrêté, se mettant à l’immense matériel d’acier perdre qui sifflait mollement, https://alexisltxzb.dbblog.net/7221245/le-train-sans-retour