Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir incomparablement persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le dieu, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le https://troyfynbn.slypage.com/34677984/l-empreinte-du-regard