Clermont ferrand, 2150. Trente jours de bouquet continue. Non pas une tempête, ni une averse violente, mais une saleté lente, persistante, régulière. Les gouttes s’écoulaient sans sanie, mais sans interruption, couvrant les vitres d’un banne persistant, noyant les rues sous une lumiere grise. Les égouts débordaient, les médiateurs disparaissaient, et https://rafaelbhmqt.blogadvize.com/41729349/la-pluie-sans-fin